Les enseignements

La formation est composée d’enseignements pluridisciplinaires. Cela demande une participation individuelle et un goût pour le travail en équipe (démarche de projets tuteurés…).

L’enseignement polyvalent comprend :

  • Formation générale et humaine
  • Bases scientifiques et mathématiques
  • Enseignement de l’anglais
  • Conception mécanique
  • Fabrication et production mécanique
  • Etudes des structures
  • Etudes des matériaux
  • Automatismes et informatique industrielle

Présentation de la formation

Formation encadrée de 1800 heures en 2 ans associée à une formation tuteurée de 300 heures. La formation est complétée en fin de deuxième année par un stage industriel d’au moins dix semaines.

Le rythme de travail d’environ 30 heures d’enseignement par semaine à l’institut. L’enseignement est dispensé sous forme de cours devant la promotion entière, de travaux dirigés par groupes de 26 étudiants au maximum et de travaux pratiques par groupes de 13 étudiants au maximum.

Qu’est-ce que le génie mécanique ?

C’est imaginer, créer, réaliser, contrôler des mécanismes présents dans tous les secteurs d’activités : aéronautique, électroménager, automobile, informatique industrielle, agro-alimentaire, design…

Les étudiants en GMP reçoivent une formation en contrôle continu, équilibrée, à la fois professionnalisante et scientifique.

Elle s’appuie sur une formation scientifique et générale solide (Mathématiques, Techniques d’Expression, Anglais) et aborde l’ensemble des domaines du génie mécanique permettant à l’étudiant en BUT GMP d’intervenir tout au long du cycle de vie d’un produit :

  • élaboration du cahier des charges fonctionnelles
  • conception de systèmes mécaniques
  • industrialisation
  • production de pièces usinées, moulées, injectées…
  • gestion de projets, qualité

Elle intègre les dernières innovations technologiques et utilise un parc machines à vocation industrielle : CN, robot, prototypage rapide, 3 Dexperience (logiciel de référence pour l’automobile et l’aéronautique), simulation des procédés et du comportement mécanique des systèmes. Le département dispose également d’un atelier de mise en oeuvre composite.

Tout au long des deux premiers semestres l’étudiant construit son Projet Personnel et Professionnel afin de choisir le parcours de formation en BUT 2 et en BUT 3 adapté à son projet.
Il peut choisir soit :

Un parcours lui permettant :

  • une insertion directe dans la vie active
  • une poursuite d’études après le BUT 2 vers une licence professionnelle (localement : Inspection de sites industriels )

Un parcours lui permettant de préparer une poursuite d’études « longues » vers :

Les SAE et les stages (10 semaines en entreprise au 4ème semestre et 14 semaines au 6ème semestre) permettent aux étudiants de préparer leur entrée dans le monde industriel.

Les débouchés

Le titulaire du BUT GMP s’insère dans les équipes spécialisées ou polyvalentes des services et départements industriels :

  • bureaux d’études et d’outillage,
  • méthodes, industrialisation,
  • maintenance et supervision,
  • organisation et gestion de la production,
  • production,
  • assurance et contrôle de la qualité,
  • essais, R&D (recherche et développement),
  • laboratoires de recherche,
  • achat, vente et après-vente…

d’entreprises comme AIRCELLE, SIDEL, RENAULT, DRESSER RAND, TOTAL ainsi que l’ensemble des PME et PMI du secteur industriel.

Le dépôt de candidature doit être réalisé sur le portail  » PARCOURSUP « .
Les dossiers sont à télécharger sur ce site.

L’admission se fait après examen du dossier scolaire et d’une lettre de motivation pour les candidats titulaires :

  • d’un baccalauréat S, STI2D, STL, et, sous conditions, STAV, ST2S ;
  • d’un diplôme universitaire de préparation aux études scientifiques (DUPRES).

La formation nécessite des pré-requis maths, physique, chimie, biologie.
Elle n’est pas adaptée aux bacheliers littéraires (bac ES et L) ou technologiques tertiaires (bac STMG), sauf cas particulier de reconversion.

Poursuites d’études

Ils peuvent également envisager une poursuite d’études dans les domaines de la gestion des risques ou de l’environnement en :

Les métiers et les secteurs d’activité

Dès la fin du cycle de 2 ans, les titulaires d’un DUT peuvent s’insérer dans la vie professionnelle.

Cette formation permet d’envisager de nombreux métiers pour les titulaires du DUT ou après poursuite d’études :

  • technicien HSE/QHSE ;
  • animateur ou formateur HSE ;
  • technicien en radioprotection ;
  • technicien de contrôle et analyse dans les domaines du traitement des déchets, de l’air ou de l’eau ;
  • contrôleur/inspecteur HSE,
  • ingénieur HSE ;
  • ergonome ;
  • officier sapeur-pompier ;
  • responsable environnement ;
  • etc.

Ces emplois couvrent des secteurs d’activité variés :

  • industrie (pétro-chimie, agroalimentaire, automobile, mécanique, traitement des eaux ou des déchets, etc.) ;
  • BTP (bâtiment et travaux publics) ;
  • contrôle ou certification (médecine du travail, Apave, Norisko, Véritas…) ;
  • secteur public : hôpitaux, services vétérinaires, laboratoires, collectivités territoriales (communes, départements…), DREAL…

La plaquette téléchargeable du département HSE

Une formation pluridisciplinaire à dominante scientifique

D’une durée de 2 ans, elle est divisée en 4 semestres et comprend :

Des matières d’enseignement général ou professionnel dispensées sous forme de cours magistraux (20%), travaux dirigés (40%) et travaux pratiques (40%).
Analyse des accidents, anglais, biologie, chimie, communication, droit, écologie, ergonomie, gestion environnementale de l’eau, de l’air et des sols, mathématiques, physique, psychologie du travail, secourisme, toxicologie, etc.

Des projets
L’équipe pédagogique soutient et guide les étudiants dans le développement de leur autonomie, de leur prise d’initiatives et l’élaboration de leur cursus post-DUT au travers

  • du projet tutoré qui permet de mener, dans la durée, un travail de groupe
  • du P.P.P. (Projet Personnel et Professionnel)

Un stage
De 10 semaines en entreprise (en France ou à l’étranger avec l’aide du service des relations internationales de l’Université).

En outre, de nombreux professionnels interviennent et apportent leur expérience dans l’ensemble des matières spécialisées et des visites dans les diverses industries du Havre sont organisées.

Les départements HSE forment des techniciens dans le domaine des risques et des nuisances.

Le technicien HSE doit être capable :

  • d’identifier et évaluer les risques tant pour les individus que pour l’environnement ;

  • de mettre en œuvre les méthodes de prévention adéquates ;

  • d’organiser des contrôles et proposer des solutions ;

  • d’assurer la formation des personnels concernés ;

  • de prévoir et organiser le traitement des accidents ;

  • d’assurer une veille technologique et réglementaire.

Du 8 au 12 octobre 2012, GEA à Budapest

 

Le département GEA maintient les relations de partenariat établies depuis de longues années  avec plusieurs établissements universitaires européens dans le cadre du réseau Erasmus : échanges d’étudiants et de professeurs, coopération pédagogique.

Du 8 au 12 octobre 2012, des enseignants du département GEA ont assuré des enseignements à la Budapest Business School et à l’Université OBUDA :

               – Deux simulations de gestion en anglais et une simulation de gestion en français,

               – Des cours de droit en anglais,

               – Des cours d’économie en anglais.

Des étudiants de l’Université sont actuellement en études à Budapest dans des filières d’enseignement en anglais.

Les enseignants ont ainsi rencontré trois anciens étudiants de l’IUT partis à Budapest pour un an dans le cadre des échanges SOCRATES.

Cette année, M. Pedro Lages dos Santos – Vice Président de l’Université du Havre, M. Marc Feuilloley – Doyen de la Faculté des Affaires Internationales et Mme Eliane Talbot – Directrice du Pôle International de Management ont participé à ce voyage afin de développer les coopérations pédagogiques et scientifiques avec nos partenaires hongrois.

 

Hongrie

Budapest Business School (BBS) [en hongrois BGF] (20 000 étudiants)

Obuda University (Budapest Polytechnic (collège scientifique) [BMF] Keleti Karoly Faculty) 

 

 

 

Écosse
Université de Paisley

Malte
Université de Malte (Faculty of Economics, Management and Accountancy)
Contacts avec les Facultés de Droit, de Français et le Centre d’études Méditerranéennes.

Pologne : Université de Varsovie

Roumanie
Université de Galat

Envie de suivre un cursus international ?

Le département GEA de l’IUT du Havre propose à ses étudiant.e.s un programme international très riche.

Tout d’abord, vous aurez la possibilité de faire votre stage à l’étranger avec le programme «Professional English».

Nous avons recueilli l’avis de Fatou, étudiante en GMO et participante à ce programme.

Pourquoi avoir choisi de faire votre stage à l’étranger ?

«Je souhaite continuer mes études en commerce international, je suis bilingue et je désirais une expérience professionnelle en dehors de la France»

Faut-il une préparation particulière ?

«Oui, il faut un bon niveau en anglais car je vais être confrontée à un vocabulaire spécifique aux entreprises. D’ailleurs, le TOEIC est obligatoire pour effectuer son stage à l’étranger. Il est financé par le programme.
De plus, nous avons des cours en plus le jeudi soir pour nous préparer au stage. Nous assistons également pendant 6 semaines à des conférences.
Aussi, nous avons prévu de partir à Malte pour une formation de 4 jours, mais nous attendons la validation de ce projet.»

Comment se passe la recherche de stage? Avez-vous des craintes ?

«L’IUT aide largement à cette étape grâce à ses nombreux contacts dans des pays anglophones, mais vous pouvez toujours le rechercher par vous-même.
J’ai un peu peur concernant la recherche de logement sur place, mais je trouverais, je ne suis pas la première étudiante à partir étudier à l’étranger.»

Que conseillez-vous aux futur.e.s étudiant.e.s?

«N’hésitez pas, c’est une opportunité à saisir car elle peut changer votre vie. C’est un avantage très important dans votre CV car cela montre que vous avez des capacités d’adaptation et que vous n’avez pas peur du changement.»

Vous aurez également la possibilité de partir faire un semestre à l’étranger (S3 ou S4).


Baptiste, étudiant en GMO va faire son S4 au Québec. Il nous en dit un peu plus sur ce choix.

Pourquoi faire un semestre à l’étranger?

«Par envie, motivation, enthousiasme. Cela permet d’acquérir une autonomie particulière et d’être plus ouvert d’esprit, je le recommande aux futur.e.s étudiant.e.s»

Avez-vous certaines peur?

«Concernant le logement oui un peu, mais sinon j’ai hâte d’y être.»

Comment vous êtes-vous organisé?

«Je vais prendre mes cours du S3 pour ne pas être perdu.
J’ai dû réserver mes billets d’avion, obtenir un passeport.
Il y a beaucoup de démarches administratives, mais l’IUT aide beaucoup dans ces démarches, il nous dit ce qu’il faut faire.»

Quel est votre budget?

«J’ai prévu environ 5 000€ pour les 5 mois environ, car il faut compter le logement, la nourriture, les sorties,…»